mardi 1 novembre 2016

Mon ADN 4 : mes gènes de glace


 What ? Ma plus grande surpris a été de découvrir mes ascendance nordiques. Pas que cela soit impossible vu les différents flux migratoires, mais c’est surtout le taux qui m’a étonné. Je n’aurais jamais cru cela si on me l’avait dit. Et peut-être que du coup, ça n’est pas de ma faute si j’aime la Scandinavie, ce sont juste mes gènes qui frétillent J




10% Îles britanniques : Cette composante est associée aux îles de l'Europe occidentale de Grande-Bretagne et d'Irlande, mais des traces peuvent également être trouvées le long des côtes nord et ouest de l'Europe continentale. Quand les hommes modernes sont entrés en Europe, cette partie du monde était inhabitable et recouverte de couches de glace. Lorsque les glaces se sont retirées, les colons se sont installés dans les îles. Les premiers colons ont probablement survécu à la pêche, mais l'agriculture a finalement atteint les îles au cours des derniers millénaires. Historiquement, ces îles ont été peuplées par des Celtes et plus tard marqué les plus lointaines de l'Empire romain, ainsi les connexions génétiques subsistent entre ces régions. Pourtant, c'est l'empire mondial de Grande-Bretagne au cours des 18e et 19e siècles qui a contribué à la diffusion de cette composante dans le monde entier.

19% Scandinave : Cette composante est associée aux régions nordiques de l'Europe. Cette partie de l'Europe fut la dernière à être colonisée par l’homme car elle a été couverte de glace durant des milliers d'années. Comme le nom l'indique, cette région est associée à la péninsule de Scandinavie et ses régions adjacentes de l'Islande et le Danemark. Mes ancêtres scandinaves préhistoriques ont probablement vécu de la chasse, de la cueillette et de la pêche, puis plusieurs millénaires plus tard, de l’agriculture. Historiquement, la Scandinavie est le siège du peuple Viking, connus pour avoir voyagé vers le sud et l'ouest et interagir, à la fois pacifiquement et violemment, avec leurs voisins en Grande-Bretagne et en Europe centrale.
Cette composante génétique est observée chez les personnes d'ascendance norvégienne, islandaise, suédoise et danoise, bien qu'elle se produise également chez les gens de Grande-Bretagne et d'Europe continentale.



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